LA TETE PERDUE DE DAMASCENO MONTEIRO

Antonio Tabucchi

Points. 245 pages

 

PRESSE :

Les Inrockuptibles

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Histoire :

4ème de couverture : Situé dans l'ancienne et fascinante ville de Porto, ce récit aux apparences de thriller est dominé par la figure de Don Fernando, viel avocat attrabilaire et métaphysique, anarchiste et aristocrate, obsédé par la Norme juridique. Mais l'enquête menée sur place par un journaliste de lisbonne déborde vers des questions plus profondes : les abus policiers, la torture, la justice, la marginalité sociale et les minorités ethniques. Fondé sur un fait divers authentique, ce roman sait recourir à la fiction et à la métaphore pour transformer une donnée réelle en un objet littéraire dont l'implacable souffle narratif emporte et captive le lecteur.

Avis :s
Les Inrockuptibles : Tabucchi a aimé Pessoa, pas de doute. Il en a fait son poète et un compatriote, un guide vers Lisbonne et son initiateur à la culture lusitanienne. (..) Même si on est pris par l'action, l'intérêt du livre ne tient donc pas à un quelconque suspense. C'est plutôt du côté des personnages qu'il faut chercher la clé du récit. (..) La Tête perdue de Damasceno Monteiro propose ainsi une réflexion explicite sur les moyens de faire se rencontrer la fiction et la réalité. il n'invente pas une forme( celle du roman policier ), mais se contente de jouer avec celle qu'il subvertit ­ certes avec jubilation. C'est peut-être là la limite de son livre. ( Par Fabrice Gabriel )