MOINS QUE ZERO Bret East Ellis 10.18. 250 pages. 44 f |
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Nicolas Auguste :
Laurent Cousin :
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Histoire :20 ans, Craig revient en vacances à Los Angeles, Il retrouve une faune
d'enfants gâtés : une ex, un ami qui se prostitue ou encore un autre devenu
dealer. Et dans tout cela, rien d'anormal, toutes les deux pages, Craig
se tape une ligne, histoire de se remettre dans l'ambiance. Les parents
sont pour ainsi dire inexistants, en tous cas, ils ne brillent pas par
leur sens des responsabilités, une autre planète. Chouette, la jeunesse
dorée américaine, non ? Avis : Nicolas Auguste : Puissant, brut, brutal, les adjectifs ne manquent pas pour qualifier cette fresque. Ellis nous donne l'impression de l'avoir écrit d'une traite, faisant référence régulièrement à la musique rock des années quatre vingt, il en a adopté le rythme. Il n'y a pas d'histoire à proprement parler, le malaise de ces gosses pas encore adultes suffit à vous entraîner dans un déferlement d'excès. Laurent Cousin : Ayant pris l'habitude de lire en anglais, je devine trop facilement les expressions d'origine. Marie Caroline Lefevre : ça manque de saveur. |
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