LE GRAND PASSAGE

Cormack Mac Carthy

Point.

Nicolas Auguste :

Histoire :
4ème de couverture : Billy Parham à seize ans lorsqu'il rencontre l'être qui fait basculer son destin. Une louve s'est prise dans un piège en maraudant sur les terres du ranch familial. Au lieu de la tuer, Billy décide de ne pas rentrer chez lui et de ramener la louve jusqu'à son territoire d'origine. De l'Arizona au Mexique, la route est longue. Mais il y a surtout la frontière, cette ligne invisible que Billy doit franchir ( le grand passage). Commence alors un grand voyage, dans un pays où les hommes ressemblent à des spectres et les coups de feu à des éclairs de chaleur. Dans ce roman d'aventures, violent et désespéré, traversé par de fulgurantes images poétiques, le jeune Billy apprendra la sauvagerie des hommes et leurs limites.

Avis :

Nicolas Auguste : Deuxième volet de la trilogie des confins, difficile d'être aussi emballé que pour " De si jolies chevaux ". Pourtant il y a tous les ingrédients qui ont fait le succés de ce premier volet. Ce roman n'en reste pas moins une réussite. Il faudrait presque lire celui-ci avant " de si jolis chevaux ". L'errance de ce môme qui ne s'épanche jamais, comme si le monde aride dans lequel il évoluait ne le permettait pas. De toute façon, ne pas essayer Cormac Mac Carthy, c'est pêché !