LA COULEUR DU SOUVENIR

Geoff Dyer

10.18. 306 pages. 47 f.

 

PRESSE :

Libération

 

Histoire :

Londres, quartier sud, dans les années quatre vingt. Le narrateur vient une fois de plus de se faire lourder. Ce roman est celui de la génération perdue des années Thatcher. Il y a Steranko le peintre bricolo ou Freddie le pseudo écrivain. L'auteur décrit le rituel de cette bande de potes : boire des bières, faire la fête, fumer des joints, les squats, la vie en tous cas la leur.


Avis :

Dyer retranscrit dans ce roman toute la couleur du bonheur. Pour illustrer son propos, le journaliste conclut son article sur un extrait. La dernière phrase étant " Les résistances du radiateur formant les traînées lumineuses d'un coucher de soleil. Nous avons bavardé, assis à la lumière du radiateur ". ( Par Sean James Rose ).