PRINTEMPS NOIR

Henry Miller

Folio. 311 pages

Nejma :

 

 

 

 

 

 

 

Histoire :

4ème de couverture : C'est aujourd'hui le troisième ou le quatrième jour du printemps, et me voici assis à la place Clichy en plein soleil. Aujourd'hui, assis au soleil, là, je vous dis que je me fous complètement que le monde aille à sa ruine ou non ; je me fous que le monde ait raison ou tort, qu'il soit bon ou mauvais. Il est : et ça suffit. Je le dis, non pas comme un Bouddha accroupi sur ses jambes croisées, mais inspiré par une sagesse à la fois joyeuse et solide...

Avis :

Nejma : Cela démarre sur des rétrogradations :des lieux de Brooklyn , New York, un éclairage sur sa famille et quelques amis. Miller écrit en saccade comme s'il se trouvait dans un maelström .. Je me suis d'ailleurs un peu perdue mais peut être ,est ce l'effet souhaité?. Lui même est perdu dans sa vie , il perçoit sa folie , sa solitude , ses petites morts , la réalité d'un monde manichéen et hypocrite... Miller se veut libre , unique , lui même ... C'est percutant .