LE DAHLIA NOIR

James Ellroy

Rivages. 690 pages.

Clément Proust :

 

 

Nicolas Auguste :

 

Histoire :

Basé sur l'un des crimes le plus célèbre des années 40 aux Etats-Unis et toujours irrésolu à ce jour, James Ellroy fait renaître un véritable mythe, celui du dahlia noir. Le dahlia noir fut donné en surnom à Betty Short, jeune fille aux allures mystérieuses constamment vêtue de noir, retrouvée morte son corps séparé en deux parties dans un terrain vague le 15 janvier 1947.

 

Avis :
Clément Proust : Ellroy met tout son talent ainsi que sa noirceur pour construire une enquête riche en rebondissement et faisant preuve d'un incroyable réalisme quant aux pratiques policières pour résoudre un crime. Ellroy mélange habillement faits historiques véridiques et fiction pour nous servir au final un livre considéré par ses pairs comme le meilleur polar jamais écrit. Si vous êtes novices, vous commencez donc par ce qu'il y a de mieux en matière de policier…

Nicolas Auguste : L'auteur nous entraîne dans des fausses pistes avec brio. Puis peu à peu l'horreur se dessine pour atteindre son paroxisme dans un dernier chapitre d'une puissance extraordinaire. C'est le souffle coupé qu'on referme ce roman. Ellroy est plus qu'un auteur de polar. Il manie les phrases comme personne et place très haut l'écriture policière.