critique01

JULIP

Jim Harrisson

10.18. 315 pages.

Histoire :
Ce volume contient en fait trois courts romans. Le premier met en scène Julip une jeune femme à la vie sentimentale quelque peu cahotique dont trois hommes plus vieux qu'elle se sont entichés. Le frère de Julip, un garçon pour le moins instable et possessif est en prison pour leur avoir tiré dessus. Même si aucun n'est mort, la peine pourrait s'avérer lourde. Julip s'emploiera à convaincre les trois victimes de ne pas trop le charger. La seconde histoire nous dépeind les déambulations de Chien Brun, un indien plus ou moins impliqué dans la lutte que son peuple mène pour la reconnaissance de ses droits. Sa naïveté le rend aveugle aux manipulations et autres fourberies dont certaines proviennent de son propre camp. Le volume se finit sur un récit qui semble largement autobiographique. Un enseignant dans une petite université de province, ayant obtenu ce poste grâce à un récent succés littéraire doit faire face à l'hypocrisie de ce milieu qu'il exècre.

Avis :
Nicolas Auguste : La seconde histoire est sans doute le maillon faible de ce recueil. Comme pour beaucoup d'auteurs qui en général ont besoin de longueur pour laisser leur talent s'épanouir Jim Harrisson ne semble pas très à son aise dans ce registre. D'un autre côté, peut-être qu'être trop habitué à un auteur fait qu'on attend autre chose que ce qui nous est présenté. Va savoir Charles !!!

	JULIP Jim Harrisson 10.18. 315 pages.
	Histoire : Ce volume contient en fait trois courts romans. Le premier met en scène Julip une jeune femme à la vie sentimentale quelque peu cahotique dont trois hommes plus vieux qu'elle se sont entichés. Le frère de Julip, un garçon pour le moins instable et possessif est en prison pour leur avoir tiré dessus. Même si aucun n'est mort, la peine pourrait s'avérer lourde. Julip s'emploiera à convaincre les trois victimes de ne pas trop le charger. La seconde histoire nous dépeind les déambulations de Chien Brun, un indien plus ou moins impliqué dans la lutte que son peuple mène pour la reconnaissance de ses droits. Sa naïveté le rend aveugle aux manipulations et autres fourberies dont certaines proviennent de son propre camp. Le volume se finit sur un récit qui semble largement autobiographique. Un enseignant dans une petite université de province, ayant obtenu ce poste grâce à un récent succés littéraire doit faire face à l'hypocrisie de ce milieu qu'il exècre. Avis : Nicolas Auguste : La seconde histoire est sans doute le maillon faible de ce recueil. Comme pour beaucoup d'auteurs qui en général ont besoin de longueur pour laisser leur talent s'épanouir Jim Harrisson ne semble pas très à son aise dans ce registre. D'un autre côté, peut-être qu'être trop habitué à un auteur fait qu'on attend autre chose que ce qui nous est présenté. Va savoir Charles !!!