DALVA Jim Harrison 10.18.472 pages.
Rédac'chef   PRESSE Le Nouvel Observateur	Histoire : Le père de Dalva est mort à la guerre. A la suite d'une grossesse non désirée, elle fait adopté son fils. De surcroit, elle doit oublier son seul amour, le père de son enfant, pour d'obscures raisons filiales. Le roman dévoile au fur et à mesure l'arrière plan de ce destin tortueux : des racines indiennes, un arrière grand-père immigrant suédois.. .rien ne semble simple pour cette femme hors norme. Avis : Nicolas Auguste : Ce roman aux accents autobiographiques est une fois encore l'occasion pour Jim Harrison de faire, à la fois étalage de son talent et de sa passion ambiguë pour ce pays aux multiples facettes. Le parcours de son héroïne nous fait prendre toute la mesure de ces ambiguités. Mais au-delà des thèmes récurrents des romans d'Harrison, il y a la langue, la sensation de facilité, tout ce qui peut faire dire que le plaisir de lecture va au delà de l'histoire. Bernard Génies ( Le Nouvel Obs' ) : Dalva, c'est le grand roman de l'Amérique éternelle, L'Amérique de la prairie et des forêts, écrit avec verve, passion, ironie. Le portrait de Dalva, femme mitraillée par l'histoire, perdue au co eur d'un pays dont elle ne sait plus les frontières, est sensible et pénétrant. Harrison renoue ici avec une veine poétique et presque lyrique pour se replonger dans les racines d'une terre dont toute l'histoire n'a pas encore été dite.