NEDJMA

Kateb Yacine

Points. 242 pages

Tarek Ould Bachir :

 

Libération

 

 

 

 

 

 

 

Histoire :

Quatrième de couverture : Nedjma, c'est un amour d'enfance, c'est la femme éternelle, c'est l'Algérie. Nedjma, c'est l'obsession du passé, la quête de l'inaccessible, la résurrection d'un peuple. Nedjma, c'est la femme-patrie. Publie en pleine guerre d'Algérie, Nedjma échappe cependant, comme toutes les œuvres majeures, aux circonstances de sa naissance et s'impose quarante ans après, comme l'un des romans contemporains les plus forts.

Avis :

Tarek Ould Bachir : Cet auteur est peu connu, mais les lettrés ne le méconnaissent pas. Il fut journaliste au Monde, écrivain édité en grande partie chez le Seuil - chez qui parut son premier roman Nedjma. Ce roman est un livre où plusieurs fleuves se rejoignent, meurent et provoquent la crue des eaux. Il est le témoignage d'une identité bâtarde revendiquée, où Nedjma, protagoniste quasi-invisible, est la prêtresse, amante, mère d'un peuple d'une Algérie en naissance, une gestation douloureuse, un chantier.

Libération : Kateb Yacine composa d'immenses choses longues comme l'étincelant et baroque roman Nedjma qui révéla avec fulgurance sa singularité de moderne: on le décréta d'emblée "premier grand auteur algérien", on le rangea même du côté du Nouveau Roman. ( Mathilde De La Bardonnie )