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MORDRE AU TRAVERS Virginie Despentes Librio |
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Cécile Bergon :
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Histoire : Extrait du 4ème de couverture : Evocations tranchantes d'un quotidien noir, de drames intimes ou de rêves inquiétants.. Ces nouvelles disent violemment la Femme dans son désir ou son refus du désir, dans ses colères, ses hontes inavouées, ses excés d'amour ou sa folie meurtrière.. La femme blessée, humiliée ou bien vengeresse et autodestructrice. La Femme humaine.. Trop humaine ? Avis : Cécile Bergon : J'ai peu accroché à toutes ces nouvelles un peu trop trash pour moi. Excepté " sale grosse truie", j'adore le genre de la nouvelle. Là, elle maitrise à fond le genre. C'est dur mais moins porno que les autres. En six pages, on a l'impression d'avoir éprouvé ce qu'une femme peut ressentir pour en arriver à vouloir se faire arakiri. C'est vraiment une nouvelle magnifique. Une grosse femme qui vit avec IL. Le malaise d'un corps, elle est en mal d'amour comme si sa graisse l'empêchait de faire passer son manque d'amour. Elle se répugne tellement… Une merveille ! Dans les autres nouvelles on sent une gratuité qu'il n'y a pas là.
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