LE MAQUILLEUR D'ETOILES

Joel Cano

10.18. 304 pages

Christiane Leclercq :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Histoire :

4ème de couverture : 1978 à La Havane. Rafael Moya nous raconte son histoire. Celle d'un personnage à la Koltès, un peu voyou, un peu homo, très paumé. Joli garçon, il détrousse ceux qu'il séduit, se retrouve hébergé par Chichi, un vieux sympa de cinquante ans qui maquille les étoiles, c'est-à-dire les reines des cabarets de nuit. Et finit en prison dans le pavillon gay où il gagne la considération des taulards en mordant férocement le caïd qui veut le contraindre à une pratique que l'on dit innommable quand elle n'est pas consentie. D'une sensualité lascive, cru, violent, ce livre est de ceux qui laissent une empreinte indélébile dans le souvenir du lecteur.

Avis :

Christiane Leclercq : C'est un bien joli titre qui invite à la poésie... et pourtant la vie de Rafaël n'est qu'une suite de coups qu'il reçoit, et qu'il donne pour survivre. Sa vie est tailladée à coups de lames de rasoir, et nous, lecteurs et spectateurs impuissants avons le cœur tailladé aussi, pour longtemps... C'est noir, noir, noir, et même la poésie qui traverse l'écriture est noire. Définitivement noire.

 

 

 

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