LA QUATRIEME MAIN
John Irving
Points. 400 pages
Histoire :
C'est un lac vert émeraude, quelque part dans le nord des Etats-Unis. Patrick Wallingford est couché sur un ponton tiédi par le soleil et une femme à la voix sensuelle, qu'il entend sans la voir, lui propose de retirer leurs maillots mouillés. Ce rêve est induit par un puissant analgésique administré au héros dont un lion vient d'avaler la main gauche alors qu'il faisait un reportage sur un cirque en Inde.
Avis :
Sylvie Guibal : Est-ce parce que l'on commence à connaître les ficelles de ses romans que ce livre déçoit ou nous manque-t-il d'être Américain pour l'apprécier ? Pourtant, cela s'annonce bien. Fidèle à ses habitudes, J. Irving mêle plusieurs histoires, imbrique différentes vies. Et puis, on dirait qu'il perd le fil de son histoire et on est content d'en voir la fin parce qu'elle arrive péniblement.