LE BUCHER DES VANITES

Tom Wolfe

Le livre de poche. 961 pages

 

Sylvie Guibal :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Histoire :

4ème de couverture : Sherman McCoy mène une vie luxueuse entre Wall Street, dont il est l'un des jeunes lions, et Park Avenue. Un soir, revenant de l'aéroport avec sa maîtresse, il rate la sortie de l'autoroute, et se perd dans le Bronx. Au moment où il croit enfin échapper à ce quartier de tous les dangers, deux jeunes noirs s'avancent, menaçant vers sa Mercedes… Le couple parvient à s'enfuir, mais écrase l'un des deux hommes. Pour Sherman McCoy, c'est le début de la chute. Sa vie affective et professionnelle est pulvérisée, et l'univers dont il se croyait le maître flambe sur le bûcher de toutes les vanités. Graduellement, inexorablement, l'étau se resserre, sans que l'on sache, jusqu'aux toutes dernières pages, comment le cauchemar se terminera.

Marie Claire : The roman encore jamais écrit sur New York et ses épicentres mondialement nerveux : La bourse et les conflits raciaux… L'argent, la politique, la presse, la justice, le courage et la lâcheté. Du grand spectacle en cinémascope.

Le Monde : La plus sinistre, la plus drôle, la plus juste des présentations de la vie new-yorkaise…

Avis :

Sylvie Guibal : New York, années 80. Les points (très) forts de Tom Wolfe résident dans sa description précise des personnages et sa façon de tisser sa toile. Des existences destinées a priori à ne jamais se croiser vont finir par se rencontrer, par un concours de circonstances. Qui va le mieux s'en sortir ? On se dépêche d'avaler ce livre afin de le savoir.

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